« Il fut un temps, peu lointain, mais lointain déjà, où peindre et voir se vivaient sans entrave, avec une liberté et un plaisir qui n’avaient d’égale qu’une naïveté follement revendiquée. Portée instantanément aux firmaments, cette époque fut tout aussi rapidement vilipendée et sacrifiée sur l’autel de la mémoire. Il est temps que cette lueur d’espoir, aussi totalement romantique que vaguement kamikaze, retrouve droit de cité ».
Raoul Paimpon, blogs sur la Figuration Libre récemment mises en ligne >>> Blanchard Boisrond Combas Di Rosa
mercredi 23 janvier 2008
dimanche 20 janvier 2008
Du temps à revendre… en profiter pour soigner son ego :
>>> 1982, Finir en beauté
« Il fut un temps, peu lointain, mais lointain déjà, où peindre et voir se conjuguaient sous le commandement torride d’une brassée de concepts, de problématiques, de références, de connotations, et je ne regrette pas ce temps, je ne regrette rien… Ce temps fut un souterrain nécessaire sans doute. Pour que vienne au jour, encore, une ferveur nouvelle, une passion affirmative nouvelle. »
Bernard Lamarche-Vadel >>> lire plus
>>> 2008, Hommage à Yves Véquaud
L’art des femmes peintres de la forêt de miel. >>> lire plus
>>> 1982, Finir en beauté
« Il fut un temps, peu lointain, mais lointain déjà, où peindre et voir se conjuguaient sous le commandement torride d’une brassée de concepts, de problématiques, de références, de connotations, et je ne regrette pas ce temps, je ne regrette rien… Ce temps fut un souterrain nécessaire sans doute. Pour que vienne au jour, encore, une ferveur nouvelle, une passion affirmative nouvelle. »
Bernard Lamarche-Vadel >>> lire plus
>>> 2008, Hommage à Yves Véquaud
L’art des femmes peintres de la forêt de miel. >>> lire plus
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